La dame au chat
Anthony dévoile l’endroit où a principalement été écrit La dame au chat :
Certains écrivains ont besoin d’un espace de travail particulier, une sorte de cocon dans lequel ils sont confortables pour laisser s’échapper la créativité vive qui demeure en eux. Stephen King, par exemple, a une sorte de petit bureau aménagé chez lui, de quelques mètres carré et dans lequel il s’enferme pour écrire. J.K Rowling, aurait écrit Harry Potter dans un café d’Edimbourg. Comme il existe autant d’écritures différentes, chacun trouve son endroit idéal pour s’y adonner.
Un après-midi étouffant de juillet 2020, je découvre le Luminarium. Thé glacé maison fraîchement servi, pâtisserie aguicheuse, décor atypique et ampoules aux filaments dorés nous berçant de leur lumière. Le célèbre salon de thé du vieux Lyon m’avait conquis, il m’avait choisi 🥰
Depuis cet instant, le Luminarium est devenu ma seconde maison. J’avais moi aussi trouvé cet endroit à soi, ce lieu propice à laisser s’exprimer ma créativité. Après des centaines de boissons chaudes et froides (mention spéciale au Pumpkin spice latte) et des dizaines de milliers de mots frappés sur le clavier de mon ordinateur portable, de nombreux cartons colorés et notes plus tard, un scénario de long-métrage et un roman étaient nés. 📚🎬
Au fil des ans, ce salon de thé et son âme enveloppante, son ambiance si agréable, est devenu mon refuge pour écrire. À l’heure où j’écris ces quelques mots, le prochain roman est déjà né et grandit sur les tables du Luminarium. Dans ses murs, il gardera en mémoire le témoignage de la passion qui m’anime : celle de créer des mondes, couchés sur le papier.
Synopsis :
Sarah, jeune femme de ménage, se voit attribuer le remplacement d’une de ses collègues chez une vieille dame recluse. Alors que survient un incident, les deux femmes sont forcées de se lancer dans une cavale à travers la France.
La dame au chat est un voyage initiatique. C’est l’histoire d’un road trip, d’une amitié déconcertante, de rencontres improbables, qui invitent au lâcher-prise et à l’amour de la vie. Un roman « feel good ».
Présentation :
Ce premier roman raconte l’aventure de Sarah et Louise, deux femmes aux caractères opposés, mais qui partagent une solitude profonde, qu’elle soit physique ou touchant à l’intime, à l’être. À travers un récit purement fictionnel, entre le policier et la comédie dramatique, chaque lecteur pourra trouver une dose de suspens et d’humour sarcastique (attrait surtout au caractère de ce duo original).
Mon but, dans l’écriture de ce roman (comme dans toutes les histoires que j’ai encore à proposer) est le désir qu’il puisse toucher les gens dans leur humanité. Mais surtout qu’il constitue une aide, un espoir, un message pour leur permettre de se libérer, ne serait-ce qu’un minimum, des tourments qui les pèsent.
La solitude, qui se fait de plus en plus lourde dans notre société contemporaine, constitue un véritable enjeu social, d’autant plus lorsqu’elle frappe les personnes âgées (et de plus en plus tous les âges). Elle fait donc partie de l’un des thèmes fondamentaux de ce livre. Par son récit, j’y aspire, il fera naître l’espoir chez ceux qui s’imaginent abandonnés du monde, qui souffrent d’anxiété et de pensées négatives récurrentes.
En aucun cas je ne souhaitais écrire un manuel de développement personnel avec des étapes ou conseils clés. J’ai désiré insuffler les messages nécessaires pour toucher les lecteurs en leur âme et non via leur mental.
Cette cavale offre bien plus qu’un simple périple physique, c’est un voyage dans l’être profond des personnages pour leur permettre de se libérer et d’aller de l’avant. Il évoque le fait de trouver sa place dans la société, le regard que les autres portent sur nous, la difficulté du deuil, les résistances du mental et bien d’autres choses.
Le roman est publié chez La fabrique des mondes ©2024